L'Iran. Voyage en Iran de Daniel Ginibriere, rêve, évasion, légendes, aventure, photos d'Iran, Iran, Téhéran, Alamut, Alborz, Shiraz, Persepolis, Yazd, Zagros, Bakhtyaris, Ispahan, Abyaneh, Hafez, Sa'adi, Qom, Zoroastrien, palais Ali Qapou, Norouz, voyages, rêve, évasion, légendes, Naqsh-é Rostam, pont Khadjou, Kachan, secte dite des assassins, Hashishins, monts Alborz, tour du silence, Qazvin, Elbourz, Masouleh, Rud Khan, Tabriz, Ourmia, église du berger, monastere Saint Stephanos, monastere Saint Etienne, Makou, Dzordzor, Tzortzor, monastere arménien Saint Thaddée, Chaldoran, Khoy, Urmia, Mausolée de Shams, Shams Tabrizi, Ourmiya, Kandovan, Maragheh, Trone de Salomon, Takab, Takeb, dome de Soltaniyeh.

L ' ~ I R A N ~ du nord-ouest

l'Iran Voyage en Iran
Ispahan, Yazd, Chiraz, Qom
Retour à l'accueil la capitale Téhéran
le désert Dasht-e Kevir



À l'écart du circuit touristique traditionnel du centre que j'ai fait en 2009, ce voyage de 2016 nous fait visiter les régions du nord-ouest, aux frontières de l'Azerbaïdjan, de l'Arménie, de la Turquie et de l'Irak, là où vivent les minorités ethniques d'Iran. Après avoir traversé la chaîne de l'Alborz, nous longeons la Caspienne pour rejoindre ensuite le Mont Sabalan où nous avons eu de la neige en ce mois d'octobre, et où Zarathoustra, dit la légende, écrivit le texte sacré des Zoroastriens. De là, nous allons vers Jolfa et Maku à la découverte d'un patrimoine religieux magnifique, en excellent état et souvent inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO. Des balades dans des paysages grandioses et sauvegardés nous font pénétrer dans l'intimité de cette sauvage contrée avant de redescendre vers Tabriz en passant par le lac salé d'Ourmieh et le village troglodyte de Kandovan.

2009 était l'année de la réélection truquée du président Ahmadinejad, une période trouble avec beaucoup de manifs et d'emprisonnements et très peu de touristes. Avec l'actuel président iranien et l'accord international sur le nucléaire, le tourisme est en plein développement. Le peuple iranien, qui souffre énormément de l'embargo international très strict, espère beaucoup de cette détente. Comme en 2009, les gens sont très accueillants et chaleureux. Ils veulent toujours autant savoir ce que l'on pense d'eux et de l'Iran. C'est un peuple instruit et cultivé qu'il ne faut pas confondre avec les religieux sectaires. L'histoire de l'Iran, que dis-je, de la Perse, est très riche et intéressante, surtout la littérature. J'ai un livre de poèmes perses acheté à Téhéran, quand je vois comment des poètes comme Hafez, Saadi et quelques autres, parlaient des femmes et du vin ...

La situation des femmes, parlons-en : Le port du foulard est obligatoire, même pour les touristes. Il faut insister pour dire qu'imposer une tenue vestimentaire est absolument inadmissible. Mais peut-on en rester là ? Ce serait une grave erreur. En Iran les jeunes capables de faire des études peuvent les faire et il y a 60 % de jeunes filles dans les universités. Quant à l'accès à l'emploi, elles ont la réputation d'être plus courageuses que les garçons. Dans les villes, il est possible pour un garçon et une fille de vivre ensemble sans être marié bien que cela soit beaucoup moins banal qu'en France. Il y a beaucoup de choses interdites en Iran, par exemple il y a une censure cinématographique, mais les DVD des films interdits sont en vente dans les magasins.
A mon avis il faut leur souhaiter que la situation politique continue à évoluer doucement comme ces dernières années. Pourquoi doucement ? Le peuple dans sa majorité, apprécie la stabilité du régime et n'est pas prêt à des bouleversements, peut-être parce que cela pourrait provoquer une reprise en main des religieux sectaires qui restent les décideurs et qui ne font que tolérer l'évolution actuelle.
En Iran comme dans les autres pays musulmans, seulement une partie, importante en Iran, de la population est réellement croyante, les autres cèdent à la pression sociale, ce qui montre que c'est les croyants qui sont militants. Ce qui compte, c'est les apparences, c'est pourquoi ma conviction est que les tenues vestimentaires changeront en dernier. Le plus important, c'est l'instruction, la culture et l'accès à l'emploi. La société iranienne est duale. Les plages publiques sont pour le tout-venant, les femmes s'y baignent habillée, il y a des plages privées suffisamment chère où les femmes se baignent en bikini. Pendant le ramadan, les restaurants populaires sont fermés, les restaurants plus chics ouverts, pour les repas d'affaires !!! Et dans les soirées privées bien fréquentées il y a de l'alcool.

O C T O B R E . 2016

Qazvin est situé au pied des monts Elbourz. Ravagée de nombreuses fois par les Daylamites, harcelée par les Nizârites ou "Assassins" de la vallée voisine d'Alamut, détruite à deux reprises par les Mongols, elle devient la première capitale de l'empire safavide de 1555 à 1597.
La ville décline progressivement, redevient prospère sous les Qadjars, mais souffre de l'occupation soviétique pendant la Seconde Guerre mondiale.

Masouleh se situe 1 050 mètres au-dessus du niveau de la mer dans la chaîne de l'Elbourz, à côté du littoral sud de la mer Caspienne. Le village en lui-même a une dénivellation de plus de 100 mètres. L'architecture de Masouleh est unique. Les bâtiments ont été construits à flanc de montagne. Le toit d'une maison sert de cour à la maison qui est située au-dessus. Masouleh n'autorise pas l'accès aux véhicules motorisés, à cause de sa conception unique. C'est le seul village en Iran à disposer d'une telle interdiction. Les rues étroites et les nombreux escaliers ne permettraient de toute façon pas aux véhicules de circuler dans le village. L'extérieur des bâtiments est recouvert d'argile de couleur ocre/jaune. Cela permet une meilleure visibilité dans le brouillard.

Le château Rud-khan, également appelé également château Hessam est un château fort médiéval iranien en brique et en pierre. Le complexe militaire date probablement de l'époque Sassanide. Il a été renforcé pendant l'époque Seldjoukides. Il est constitué de fortifications importantes sur une longueur de 1550 mètres munies de 40 tours qui sont encore intactes. Ces fortifications englobent une surface de 5 hectares. Des palais et tous autres types de bâtiments ont été construits à l'intérieur.

Tabriz est la capitale de la province de l'Azerbaïdjan oriental iranien. Elle se trouve sur le cours de la rivière Talkheh, près du lac d'Ourmia, à proximité des frontières de la République d'Azerbaïdjan et de l'Arménie. Sa population s'élève à 2 500 000 habitants. Le site de Tabriz est habité depuis la Préhistoire et il reste des traces d'occupation à l'âge du Fer. En 1227, la ville est conquise par Gengis Khan et intégrée au vaste empire mongol. Elle se relève à partir de 1270, date à laquelle Abaqa Khan, petit-fils de Gengis Khan et fondateur de la dynastie des Ilkhanides, se fixe à Tabriz. Au XIVe siècle, la ville connait un destin agité, au cour des rivalités entre Ilkhanides et Chupanides. A partir de 1375, elle connait une période de calme et la ville est embellie : c'est de ce moment que date la mosquée Bleue. Mais en 1392, Tamerlan met la ville à sac. Elle est reconstruite par les Aq Qoyunlu, une dynastie locale turkmène qui règne sur la région depuis Tabriz entre 1469 et 1502. La mairie de Tabriz se trouve dans le palais municipal de Tabriz, populairement appelé tour Saat, c'est-à-dire la tour de l'Horloge.

Le bazar

L'ancien caravanseirail dans le bazar

L'ancien caravanseirail dans le bazar

La mairie

Le musée d'Azerbaïdjan ou musée de Tabriz a été inauguré en avril 1958 sous le règne de Mohammad Reza Pahlavi. Ce musée est consacré à l'histoire et à l'archéologie de la région. C'est l'un des plus importants d'Iran, concernant ces domaines.

Le musée de la constitution est consacré à la Révolution constitutionnelle de l' Iran qui a eu lieu entre 1905 et 1911. Elle a menée à la création d'un parlement en Perse au cours de la dynastie Qajar, et ouvrit la voie à un changement cataclysmique annonçant l'ère moderne

La mosquée bleue

La mosquée bleue

La mosquée du vendredi

La mosquée du vendredi

L'église du Berger et de superbes panoramas

Le monastère Saint-Stepanos ou Saint-Étienne est un monastère arménien situé à proximité de la ville iranienne de Jolfa, près de la rivière Araxe, dans la province de l'Azerbaïdjan oriental. Il est dédié au premier martyr chrétien, Étienne. Peut-être érigé au VIIe siècle, il est attesté de façon certaine au Xe siècle. Il a été reconstruit à de nombreuses reprises aux siècles suivants, et les éléments actuels datent pour la plupart des XVIIe et XIXe siècles. Le monastère est complètement protégé par une enceinte quadrangulaire, défendue par quatre tours rondes à chaque angle. L'intérieur se divise en deux cours. La plus vastes des deux cours est la cour sud. Elle regroupe les bâtiments conventuels, avec le dortoir, la cuisine, le réfectoire. La cour nord s'organise autour des bâtiments sacrés du monastère : l'église, une chapelle et le clocher. L'église a été construite au milieu du XVIIe siècle, en pleine renaissance de l'architecture arménienne. Il semble que ce soit l'évêque Hakob de Jolfa qui en ait ordonné les travaux. Les murs des bâtiments sont recouverts de plaques de calcaire alternativement marron et rouge. Les façades de l'église portent des scènes sculptées de la Vie de Jésus (Annonciation, Vierge à l'Enfant, Crucifixion, Résurrection) et du martyre de saint Étienne. Haute de 25 mètres, l'église est couverte d'une coupole en ombrelle. Le tambour de cette coupole a seize faces : une pour chaque apôtre, pour Dieu, la Vierge, saint Jean-Baptiste et saint Grégoire l'Illuminateur. Le plan de l'église est rectangulaire. À l'intérieur, trois absides groupées en forme de trèfle forment une triconque. L'abside est entourée de chaque côté d'une chapelle à deux étages. Le côté ouest de l'église abrite une tribune. L'église principale est entourée par une « chaîne seldjoukide » sculptée, typique de l'ornementation musulmane. On retrouve également l'influence iranienne dans la forme outrepassée des arcs et les motifs végétaux des fresques peintes en 1826.

Sur la route de Makou cette église
Makou est une ville montagneuse du nord-ouest de la province de l'Azerbaïdjan occidental en Iran. Elle est située dans une gorge montagneuse, à 22 km de la frontière entre Iran et Turquie, La majeure partie de la population de la ville est azériphone et kurdophone. la population de Maku est aujourd'hui supérieur à 200 000 personnes dont 43 % sont des jeunes moins de 15 ans.

Dzordzor ou Tzortzor est un monastère arménien situé dans la province de l'Azerbaijan-e-gharbi, en Iran. Le monastère a connu son apogée au XIVe siècle avant d'être détruit au début du XVIIe siècle lorsque Abbas Ier décide de déporter les Arméniens établis dans cette région. La chapelle Sainte-Mère-de-Dieu est l'unique vestige du monastère. La construction de cette chapelle cruciforme surmontée en son centre d'une coupole à tambour remonterait aux IXe - Xe siècles, ou au XIVe siècle. En accord avec l'Église apostolique arménienne, le bâtiment a été déplacé de 600 mètres par les autorités iraniennes en 1987-1988, à la suite de la décision d'édifier un barrage sur la rivière Makuchay. Elle a été restaurée et a retrouvé sa coiffe par la même occasion. La chapelle figure sur la liste du Patrimoine mondial de l'UNESCO depuis le 6 juillet 2008.

Saint-Thaddée est un monastère arménien situé dans la province iranienne d'Azerbaijan-e-gharbi, à côté de Chaldoran, à une vingtaine de kilomètres de Maku. Le complexe monastique figure sur la liste du Patrimoine mondial de l'UNESCO depuis le 6 juillet 2008. Le monastère remonterait à 66 et aurait été érigé par Thaddée en personne. Selon la tradition, Simon et lui auraient été enterrés ici après avoir été assassinés avec plus de 3 500 personnes. En 1329, l'église a été reconstruite sous ce qui est maintenant sa forme actuelle après qu'un tremblement de terre eut détruit sa structure en 1319. Le prince Qajar Abbas Mirza a aussi aidé à sa rénovation et réparation. La partie ancienne est faite de pierre noire ayant donné son nom au monastère. La partie la plus récente est en pierre blanche.

Les deux chacanas sont des symboles Inca qui concentrent les ions positifs cosmiques. D'ou le porte bonheur. Il y a le même symbole sur la mosquée Gonbad Sorkh à Maraghek.

Khoy est situé au nord de la capitale de la province et la plus grande ville Urmia. L'économie de la région repose sur agriculture, en particulier la production de fruits, de céréales, et le bois. Les habitants de la ville, au nombre de 200 000, sont principalement des Azéris d'Iran et l'azéri est la langue dominante, tandis que presque tous les habitants peuvent aussi converser en persan. La religion principale est l'islam chiite. Occupée depuis l'époque Médique, elle a également une longue histoire en tant qu'important centre chrétien.

A gauche le mausolée de Shams, où repose la dépouille mortelle du
grand mystique et poète Shams Tabriizi auteur d'une des plus grandes
oeuvres de la littérature classique persane, le "Divan de Chams".
A droite ce bas relief d'époque Sassanide près de Salmos.

Eglise Sainte Marie.

Ourmia, Ourmiya ou Urmia est une ville du nord-ouest de l'Iran, capitale de la province de l'Azerbaïdjan occidental. La ville se trouve dans une plaine fertile située à 1 330 mètres au-dessus du niveau de la mer, sur la rive ouest du lac d'Ourmia, à proximité de la frontière turque. Sa population au nombre de 1 300 000 en 2012, est majoritairement composée des Kurdes, aux côtés de minorités Azéris, assyriennes et arméniennes.
Le lac d'Ourmia ou Orumieh est un lac salé au nord-ouest de l'Iran. Plus grand lac d'Iran, il fait partie du parc national du même nom. Le lac est nommé d'après le nom de la ville d'Ourmia, un nom d'origine syriaque signifiant « cité de l'eau ». Bien qu'encore classé en 2012 parmi les plus grands lacs hypersalés permanents du monde, et plus grand lac du Moyen-Orient, le lac d'Orumieh rétrécit fortement, avec une évaporation annuelle de 0,6 à 1 m. En 2014, il est estimé que sa surface s'est réduite d'environ 90 % par rapport au début des années 1970. Plusieurs facteurs sont avancés pour expliquer ce retrait, notamment l'utilisation pour l'irrigation des ressources des cours d'eau qui s'y déversent, le prélèvement massif dans les eaux souterraines qui l'alimentent ainsi que le réchauffement climatique régional.

Kandovan est un village troglodytique de la province d'Azerbaïdjan oriental, à proximité de Tabriz, dans le nord-ouest de l'Iran.
Le site est semblable aux villages troglodytes de Cappadoce, en Turquie. Le sol de la région est formé d'ignimbrite, un matériau volcanique fin, transporté sur de longues distances, soudé à chaud lors de sa retombée, et formant de vastes et épaisses nappes. Ce matériau, plus communément appelé tuf, se taille aisément. Les habitations troglodytes de Kandovan ont été taillées dans la roche il y a plusieurs centaines d'années (trois mille ans pour certaines) et sont encore habitées par 1 200 personnes.
Les habitants de la région prêtent à l'eau minérale de Kandovan des propriétés curatives : elle est considérée comme un remède aux maladies rénales. Les visiteurs venus de Tabriz ou d'ailleurs en rapportent toujours plusieurs bidons.





Maragheh également connu comme Maragha, est une ville située à 130 kilomètres de Tabriz, c'est la capitale de la province d' Azerbaïdjan oriental. Au recensement de 2012, sa population était 163 859. Elle fut la capitale d'été de Hülegü, petit-fils de Gengis Khan, qui fonda en 1256 la dynastie des Ilkhans de Perse. La population se compose essentiellement de iraniens Azerbaïdjanais qui parlent la langue azerbaïdjanaise . Il est de 130 kilomètres de Tabriz.

Les Tours funéraires : Le dôme a été construit d'après un schéma appartenant à des périodes antérieures à l'époque seldjoukide, utilisé notamment dans les régions du nord de l'Iran et le littoral de la mer Caspienne. Mais on y reconnaît néanmoins le style de l'époque seldjoukide, notamment vers le haut du dôme où le diamètre diminue perceptiblement par rapport à la base, intensifiant la monumentalité de l'édifice funéraire. A l'intérieur du tombeau, il n'y a pratiquement aucun ornement. Il y avait autrefois un mihrâb en plâtre très simple qui fut détruit plus tard, et il n'en reste aujourd'hui qu'un vestige. La surface intérieure du dôme est simple et non décorée. Le transfert de la forme octogonale à la forme arrondie s'effectue par une série d'arcs brisés très simples. Nous pouvons voir la forme plus avancée de cette technique d'arcs brisés dans la zone de transfert des dômes de la grande mosquée d'Ispahan ou à Gonbad Sorkh à Marâgheh. Aux quatre côtés du dôme, quatre petites ouvertures laissent la lumière du soleil entrer à l'intérieur du monument. Actuellement, l'édifice est en bon état en raison d'une opération de restauration qui a été effectuée à temps et de manière adéquate. A l'intérieur de l'édifice se trouve une petite chambre funéraire aujourd'hui vide.





Cadran solaire vertical inauguré en juillet 2005 à l'occasion de l'année mondiale de la physique. Il a été réalisé par l'institut de recherche en astronomie et astrophysique et avec la coopération de l'office de tourisme de Maragheh et du service de coopération et culturel de l'ambassade de France en Iran.

Zanjan, 400 000 habitants est située à 298 km au nord-ouest de Téhéran sur l'autoroute principale menant à Tabriz et en Turquie.

à gauche : Allah, à droite : Ali

La mosquée du vendredi



Les anciens lavoirs

ce pont

Trône de Salomon Ce site du patrimoine mondial est situé en Iran, près de la ville de Takab, dans la province de l'Azerbaïdjan occidental. Takht-e Soleymân (le trône de Salomon) est le lieu le plus sacré du zoroastrisme et de l'empire sassanide. Le site comporte un lac artésien, un temple du feu zoroastrien, un temple dédié à Anahita (la divinité des eaux) et un sanctuaire royal sassanide. Le site fut détruit à la fin de l'ère sassanide, mais retrouva une nouvelle vie et fut en partie reconstruit au XIIIe siècle.

Le Dôme de Soltaniyeh fut construit entre 1302 et 1312 dans la ville de Soltaniyeh, capitale des tribus mongoles Ilkhanides. Situé dans la province de Zanjan, à quelque 240 km de Téhéran dans le nord-ouest de l'Iran, Soltaniyeh est l'un des exemples les plus saisissants de réalisations architecturales perses et un monument clé dans le développement de l'architecture islamique. Cet édifice de forme octogonale est surmonté d'une coupole majestueuse d'une hauteur de 50 m, recouverte de carreaux de faïence turquoise et entourée de huit minarets à la silhouette élancée. Cette structure constitue le plus ancien exemple existant de coupole double en Iran. La plus grande partie de la décoration extérieure a été perdue, mais l'intérieur conserve ses superbes mosaïques, faïences et peintures murales.

Ecrire un message sur le livre d'or

Continuer à voyager dans un autre pays

me contacter

haut de page

Ce site sans prétention est purement amateur et personnel, il n'a et n'aura jamais aucun partenaire commercial.
Son contenu est sous copyright. Si vous me le demandez, pour un usage non commercial,
je peux vous offrir le contenu qui vous intéresse
à condition de mentionner le nom de l' auteur et l' adresse internet.